Les monoptères

Les monoptères
Les monoptères (ceux qui n'ont qu'une aile)

vendredi 5 juin 2015

Eurydice et Orphée


Mon doux petit Bébert 

Au long nez mignon.. 

Qui parfois prend l'air... 

L'air Grand, sévère et hon,
(Du flan, en potion) 
Tu restes l'homme-enfant 
Qui avait si peur, si peur,
Que j'ai saisi par la main 
(Tendue?), avec vigueur
Pour le tirer sur le chemin
Du bonheur (?) Du bonheur
Éternel et d'un instant, 
Immense, enchanté, riant.
Petit Poucet-Eurydice !
Mais, épuisée en lice,
J'ai lâché.. et tu as disparu..
Et Orphée à jamais s'est tu.

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Ne te force pas mon Bébert

Je m'aperçois que je suis pesante

Finalement, que j'aille mal ou bien,

Je me tairai donc à présent.
Je ne te fais pas tant de bien,
Peut-être même de la peine


Finalement, ni à moi -mais un peu-

N'empêche ça ne vaut pas le blues pour toi

Arithmétique !

Bonne nuit et presqu'adieu

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